La crise du Covid-19 a révélé certains problèmes de sécurité sanitaire qui ne sont à ce jour pas résolus :
La contamination de l’eau
Fin avril 2020, en pleine crise sanitaire, un doute très sérieux sur la contamination de l’eau de la ville de Paris a été relayé par les médias, et suivi d’un appel à ne pas consommer cette eau. A l’origine des traces de Coronavirus trouvées dans l’eau non potable de la ville, en effet un article de Science et Avenir » explique que « Des fragments de génome du Covid-19 peuvent passer dans les selles des personnes infectées, voyager dans les égouts, résister aux traitements de dépollution et se retrouver dans les rivières, prouve une étude d'Eau de Paris, l’entreprise publique qui fournit l’eau de la capitale. »
Comment ne pas douter de l’intégrité présente et à venir de l’eau potable distribuée par les grandes agglomérations du monde ?
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Les déchets hospitaliers
Une grande partie des malades touchés par une infection virale est concentrée dans les hôpitaux et produises des déchets de différentes natures. Si les déchets solides sont censés être incinérés, l’élimination des effluents liquides est un réel sujet d’inquiétude. En effet le site « techniques hospitalières » explique que les hôpitaux parisiens sont autorisés à rejeter leurs effluents dilués à l’eau !!!
« Les hôpitaux parisiens, du fait d’une importante consommation d’eau, rejettent des effluents fortement dilués et rencontrent habituellement peu de difficulté à respecter les normes de rejets. »
Comment garantir dans ce cas l’absence totale de virus dans nos rivières ?
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Comment la Technologie BSL neutralise les micro-organismes ?
La société BioSafeLight a mis au point un procédé de photo-purification qui permet de décontaminer les liquides turbides (opaques). Ce procédé combine la lumière UV-C d’une longueur d’ondes très germicide, à un flux turbulent qui permet à chaque partie du liquide de recevoir la dose adéquate d’UV-C. L’efficacité d’inactivation microbiologique est vérifiée sur une large gamme de liquides, y compris troubles et opaques. La longueur d’ondes de la lumière utilisée est spécifiquement absorbée par l’ADN des micro-organismes, ce qui entraine la destruction de certaines liaisons et la formation d’adduits sur les brins d’ADN. Cette altération de l’ADN rend les germes incapables de se multiplier, induisant ainsi leur inactivation.
Est-on certain d’éliminer les virus ?
Le principe même du procédé suffit à expliquer la similarité de l’action sur tout type de micro-organisme. En effet l’énergie lumineuse (à la longueur d’ondes adéquate) est absorbée de la même façon par l’ADN d’un micro-organisme, qu’il s’agisse de celui d’un virus ou d’une simple bactérie.
Certains clients de BioSafeLight utilisent avec succès cette technologie afin de garantir l’absence de tout risque de présence virale dans leur produit d’alimentation animale.
La technologie BSL a fait ses preuves dans l’industrie alimentaire, elle pourrait bien être une solution pour l’eau et pour les effluents des hôpitaux